mercredi 15 mai 2013

Voilà, c'est fini

Ainsi s'achève notre voyage. Après les pyramides, nous avons rejoint la ville de Mexico pour une dernière journée, mais avec toute la fatigue accumulée, nous ne sommes pas sorties bien loin et avon acheté quelques souvenirs dans le centre-ville. Pour faire un joli dernier article, je vous laisse avec les quelques photos de coccinelles, qui est la voiture du pauvre au Mexique.

À San Cristobal de las Casas

À Valladolid

À Valladolid toujours, devant la cathédrale

À Mérida

mardi 14 mai 2013

Teotihuacán

Finalement, nous quittons le Yucatan au petit matin et, avant même d'entrer dans la ville de Mexico pour une ultime visite, nous rendons sur le dernier site archéologique au programme : Teotihuacán, là où les dieux sont nés. Pas de chance, pas de garde-bagages à l'entrée du site, et c'est donc sac sur le dos que nous avons effectué la visite...

Le site est construit en longueur, avec trois entrées principales. Nous arrivons à la première où tout est assez calme et nous visitons la citadelle, là où résidaient les puissants et où se trouve la pyramide du serpent à plumes (encore lui !). Puis nous empruntons la chaussée des morts, deux kilomètres et quelques entrecoupés de nombreux escaliers jusqu'à la grande pyramide du soleil, puis celle de la lune où nous retrouvons le bus qui nous ramène en ville.

La pyramide du serpent à plume (à moitié finie, encore, celle-là)

À l'intérieur de la citadelle

Vue depuis la pyramide du soleil
Idem

La pyramide du soleil, surplombant la chaussée des morts

Des cailloux entre les cailloux, c'est plutôt joli



La pyramide de la lune et la dernière partie, tout au bout de la chaussée

lundi 13 mai 2013

Mérida

Dernière étape dans la péninsule du Yucatan : Mérida, sa capitale. La ville a été fondée par les colons et a ensuite connu un immense succès commercial grâce au henequen, une sorte d'agave (oui, il n'y a que ça comme plante au Mexique...) qui permet de fabriquer de la corde. On dit qu'au début du vingtième siècle, c'était la ville qui comptait le plus de millionaires au monde ! Les bâtiments qui ont survécu montrent bien cette richesse passée. Aujourd'hui, la ville s'est reconvertie dans la culture en ouvrant de nombreux musées et en proposant des concerts de rue tous les soirs de la semaine.

Première visite : le palais du gouverneur, ouvert lui aussi au public


Peinture de Fernando Pacheco Castro représentant le drapeau mexicain

Centre commercial avec des fresques murales rappelant le temps béni des colonies

Les soi-disant "Champs Élysées" de Mérida


Après midi, le temps vire à l'orage. Nous nous réfugions dans les musées.

D'abord le Museo de Arte Contemporáneo Ateneo de Yucatán

Puis un petit musée qui ne payait pas de mine, où nous avons été surprises de trouver les sérigraphies d'Andy Warhol !

dimanche 12 mai 2013

Chichen Itzá (part 3)

(Pour des ruines qui m'ont moyennement plû, je trouve que j'ai beaucoup de choses à dire. Promis c'est le dernier article et après on passe à autre chose. Genre une ville vivante.)

Un cenote sacré où ont été repêchés pas mal de cadavres...

Le lieu de tournage du livre de la jungle

Des serpents à plumes avec une langue proéminente

Les Mayas tentent de nous prouver qu'ils savent aussi construire des tours rondes

Des bâtiments qui ont assez mal vécu les coups de dynamites que leur ont infligés les premiers explorateurs

Un tas de pierre en vrac avec, en arrière-plan, un tas de pierres mieux organisées
(Je suis désolée pour les commentaires à la con... Je manque d'inspiration.)

samedi 11 mai 2013

Chichen Itzá (part 2)

Pas bien loin du Castillo, nous trouvons le lieu où se jouait le "juego de pelota", un jeu de balle maya dont les archéologues ont essayé de comprendre les règles. Wikipédia au secours : "Apparu durant le second millénaire avant J.C., le jeu de balle connait son apogée chez les Mayas de 900 à 1200. Il se pratiquait avec une petite balle de caoutchouc entre deux équipes (de 1 à 12 joueurs) sur un terrain généralement en forme de H, également nommé tlachtli par les Aztèques. Le plus vaste de ces courts est aujourd'hui celui de Chichen Itza : soixante-dix mètres par cent soixante huit. L'iconographie et quelques récits présentent des joueurs se renvoyant la balle à coup de hanches ou de genoux, s'interdisant de la toucher avec les mains et les pieds. D'autres illustrations montrent des joueurs munis de bâtons. Il existe peu de descriptions historiques précises des règles de ce jeu qui faisait partie d'un rituel et qui était parfois accompagné de sacrifices. Le jeu fut ensuite repris par les Aztèques. C'est cette version que découvrirent les conquistadors espagnols. Des variantes de ce sport sont encore pratiquées de nos jours dans le nord-ouest du Mexique."

Vous noterez l'anneau au milieu du mur de gauche, à l'intérieur duquel il faut faire passer la balle.

(Le même mur ) Pas de chance, les tribunes sont du mauvais côté !

 Bien que les règles soient difficile à saisir, nous avons pu admirer la décoration.

Un serpent à plumes qui fait toute la longueur du court.

Les murs sont gravés de cette manière sur toute la longueur également.

On ne sait pas toujours ce que ça représente. Ici, Jafar jouant du trombonne à coulisse.

Pas très loin, un bâtiment censé effrayer les ennemis...

vendredi 10 mai 2013

Chichen Itzá (part 1)

Et nous voilà enfin dans la dernière ligne droite, direction Mérida. Mais avant d'arriver dans la capitale du Yucatan, nous passons la journée sur le site archéologique le plus visité du pays : Chichen Itzá. Nous marchons quelques heures sous un soleil de plomb, slalomant entre les touristes par endroits... pour finalement constater que ce sont les ruines qui nous auront le moins plû de tout le voyage. Hormis peut-être la première impression.

BAM ! El castillo.

Nous n'avons pas le droit de monter en haut. Pas fâchée, je fais le tour.


Une personne que vous connaissez peut-être s'est encore glissée sur la photo. Saurez-vous la retrouver ?

Une belle tête de serpent à plumes en bas de l'escalier. (Je vous le dis parce que c'est pas évident...)

Et là, je ne sais pas. Était-ce une pénurie de cailloux provoquée par la grande crise économique qui a frappé le monde maya ? Ont-ils simplement eu la flemme ? Bref, regardez moi cet escalier à moitié fini...


La face cachée de la lune : un vulgaire tas de cailloux

Même avec un peu de recul, ça se remarque...

jeudi 9 mai 2013

Convento San Bernardino

Toujours à Valladolid, nous avons fui le soleil et nous nous sommes mises à l'ombre dans le couvent de San Bernardino, où j'ai pu prendre de chouettes photos.

Le cloître


Le jardin


La chapelle

Une expo photo